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Moment télévisuel historique: le boss de Rolex filmé et interviewé

Temps de lecture : 2 minutes

Première médiatique, Jean-Frédéric Dufour s’exprime au nom de Rolex au téléjournal du soir! Grâce à son reportage sur Georges Dubois, un horloger de presque 103 ans ayant connu Hans Wilsdorf, le journaliste télévisuel Nicolas Rossé vient de réaliser l’impensable!

Joël A. Grandjean, rédacteur en chef JSH Magazine & Swiss-Watch-Passport.ch
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Photos ©captures d’écran | @JSH1876-News

Ça se passe dans le cadre d’un sujet diffusé en français sur le doyen des horlogers suisses, Georges Dubois, presque 103 ans! Tantôt filmé chez lui, tantôt en ville, en pleine visite du Patek Philippe Museum où le Directeur Peter Friess lui sert de guide, Georges Dubois se promène sous la caméra de Nicolas Rossé. Il franchit même les espaces d’exposition très fermés du Watches & Wonders 2024. Chez Patek Philippe, le président Thierry Stern le reçoit.

Finalement le big boss de Rolex, Jean-Frédéric Dufour lui-même, s’assoit avec lui. Là, Georges Dubois brise la glace! A la surprise générale, il se trouve à la conjonction d’un moment médiatique immortel: réputé à jamais in-interviewable, en tous les cas au nom de Rolex,  le patron s’exprime, se laisse filmer… Certes, les pointilleux opposeront qu’il venait de donner, le 9 avril, une interview à la NZZ… Sauf qu’il y répondait aux questions des journalistes Andrea Martel et Chanchal Biswas non pas au nom de « la Couronne » mais en sa qualité de Président de la Watches and Wonders Geneva Foundation (WWGF), la structure organisatrice du salon horloger à Palexpo.

En 1941, son 1er job à la sortie de l'Ecole d'Horlogerie de Genève, c'est l'atelier Rolex où il côtoie le fondateur Hans Wilsdorf. Ici, Georges Dubois (dr) dans sa maison, en train d'ouvrir le livre du Dr. Helmut Crott (Le Cadran). Il reçoit le journaliste Nicolas Rossé de la télévision nationale suisse de langue française

Îl aura donc fallu la gouaille bienveillante et ultra positive du plus que centenaire Georges Dubois pour que le courant passe. Difficile d’ailleurs de rester insensible à l’entrain de celui qui trouva son premier job en 1941 dans le tout premier atelier Rolex à Genève. Il en fut le 16ème ou le 17ème employé. Il venait de sortir de l’école d’horlogerie de Genève, trouvait son premier job et devenait le premier horloger à être engagé spécifiquement pour Tudor.

Du coup, Jean-Frédéric Dufour l’a reçu, lui a parlé. Sans réclamer la coupure audio et vidéo. Celui que l’on considère sur le plan médiatique comme l’un des personnages publics les plus inaccessibles de la planète, s’est exprimé. Nicolas Rossé s’en rend-il seulement compte? Le moment est historique, certainement aussi pour les 15’000 employés Rolex actuels qui découvriront le visage joyeux d’un ex-collègue qui fut le 17ème d’entre eux à être engagé dans la maison.

De passage à la Maison de l'Horlogerie lors d'un Watch Café by JSH, le plus que centenaire Georges Dubois, presque 103 ans est considéré comme le doyen des horlogers. Il fait ses débuts chez Rolex en 1941, il fréquente dans les ateliers le fondateur Hans Wilsdorf.
Le journaliste Nicolas Rossé, de Boncourt, parvient l'exploit de capter du son et de l'image en provenance de Jean-Frédéric Dufour, le patron en 2024 de Rolex.

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