Avez-vous déjà vu une femme sur des échasses qui se promène avec une énorme horloge sur le dos? Moi, oui! Et franchement, ce n’était même pas la chose la plus surprenante de la journée.
Par Amandine, la plus jeune chroniqueuse du Swiss Watch Paspport
Portrait Amandine | Insta SWP | Insta JSH® | Insta Amandine | Facebook | Twitter | Linkedin
J’ai été invitée à la fête du 200e anniversaire de l’École d’Horlogerie de Genève et, honnêtement, c’était impressionnant. L’école a emménagé récemment dans de superbes locaux tout neufs. Elle est moderne, magnifique, superbement bien équipée, et donne franchement plus l’impression d’un musée que d’une salle de classe (dans le bon sens du terme). Tout est propre, spacieux, et semble avoir été soigneusement réfléchi. On sent que cet endroit a été conçu pour des étudiants qui se soucient vraiment de ce qu’ils apprennent.
Table ronde animée par le rédacteur en chef du Swiss Watch Passport
L’un de mes moments préférés, c’était la Table Ronde, une discussion sur l’école entre quelques étudiants en fin d’études et des anciens élèves devenus des horlogers confirmés. Chacun avait sa propre manière de penser, mais c’était vraiment intéressant de voir à quel point ils étaient passionnés par la même chose. En tant que fan de montres, et probablement future élève de l’école (à la rentrée 2026), j’ai adoré entendre les différents points de vue entre horlogers et micro-mécaniciens. Mais ce qui m’a surtout rassuré, c’est de les voir tous mettre en avant la qualité de l’enseignement et parler de la super ambiance pendant et hors des cours. Rien de forcé ni d’ennuyeux, juste des gens brillants qui parlent de ce qu’ils aiment.
Il y avait aussi différentes animations, un escape game horloger, puis le doyen M. Stéphane Cruchaud a prononcé un discours très émouvant. On sentait à quel point tout le monde était fier de faire ou d’avoir fait partie de cet endroit. L’école a déménagé, les bâtiments sont flambants neufs… Mais c’est toujours la même histoire qui s’y raconte, simplement avec de nouvelles personnes.
Et peut-être qu’un jour, moi aussi, j’en ferai partie…
