Logée dans une montre reliée à une valise qui ressemble à celle d’un président disposant de l’arme ultime, la précision atomique célébrée par Félix Baumgartner et Martin Frei parvient à déteindre sur un oscillateur mécanique.
Joël A. Grandjean, rédacteur en chef JSH Magazine & Swiss-Watch-Passport.ch
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Flash back! Formé aux restaurations de pièces anciennes, comme les plus ingénieux des créateurs actuels de calibres compliqués, Félix Baumgartner, co-fondateur d’Urwerk et père fondateur de l’horlogerie nouvelle, propulse les références originelles de son premier modèle, la UR-101, par-delà le fuselage du « Millennium Falcon« , le vaisseau de Star Wars. « L’AMC d’Uurwerk brise le plafond des limites de l’horlogerie mécanique et rétablit l’oscillateur au faîte de la chronométrie. »
Urwerk: « L’oscillateur mécanique n’est pas parfait, peut-être ne le sera-t-il jamais, mais, couplé à sa référence atomique, il a la capacité de s’auto-perfectionner.«
Comment matérialiser physiquement deux concepts d’excellence fascinants, celui de la beauté mécanique et de la précision de l’atome? Avant-gardiste et visionnaire, la marque crée un projet composé d’une montre mécanique, l’AMC et d’une horloge atomique, à la pointe de temps technologique. Elle ouvre une connexion jusque là inimaginable entre le temps du balancier-spiral et de l’échappement à ancre avec celui de cet Atomolithe, sorte de « valise » contenant une pendule atomique de 35 kg logée dans un boîtier en aluminium aux dimensions à peu près similaires à celles d’une tour informatique de taille moyenne.
Félix Baumgartner: « établir un point de convergence entre ces deux machines, apprendre à ces mécanismes singuliers et complexes à communiquer »