Le plus ancien journal horloger suisse, fondé en 1876, le Journal Suisse d’Horlogerie JSH, présente l’édition qui, comme chaque année, coïncide avec l’ouverture de l’EPHJ 2025, le salon des hautes précisions. Sa distribution est prévue jusqu’aux portes de l’automne.
Unique au monde: ce journal est le seul depuis 2019 à refuser la publicité «produit» des marques de montres. Qui peuvent toutefois être présentes via leurs publicités sur leur musée, voire sur leurs inaugurations de Manufacture. Cette posture qui laisse toute la lumière au précieux tissu de la cotraitance, les acteurs de l’horlogerie souvent dans l’ombre, témoigne d’une rare indépendance journalistique.
Dans ce numéro, des dossiers références, de ceux qui font bouger les lignes. De l’opinion aussi. Comme ce dossier de notre horloger-journaliste Vincent Daveau, sur l’échappement «naturel» fraichement lancé par Rolex. De la détection de tendances, des opinions, de la réflexion, du plaisir de lecture en mode magazine et surtout, ces valeurs de transmission et de culture horlogère chères à JSH…
Ce magazine indépendant est «réservé» aux personnels de l’horlogerie, dirigeants et décideurs compris. Du coup, parmi ses abonnés, de plus en plus de collectionneurs qui se passionnent pour ce qui se passe en «backstage».
JSH aime les montres et les marques au point d’offrir à ceux qui les font une visibilité à nulle autre pareille, une expérience fascinante dans les coulisses, là où l’ombre en vigueur crée les luminosités de la branche. Parce qu’ils le valent bien, les fournisseurs ont été rebaptisés «cotraitants», ce qui leur va nettement mieux que l’habituelle appellation de «sous-traitants».