Sage366. Son nom inspire la confiance posée, expérimentée. Sa voix et sa prestance soulignent le trait. Quant au 366, accolé à la raison sociale éponyme de son cabinet, ne signifierait-il pas que l’implication de Laurent Sage, une fois sollicité, sera de hash 24?
Par Joël A. Grandjean / Editeur et Rédacteur en chef de JSH® Magazine & Swiss Watch Passport
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Cet homme est habité. Par la cause des causes, celle d’apporter conseils et éclairages, et pourquoi pas même guidance, à des acteurs du luxe. Qu’ils soient à leurs débuts ou leurs étapes cruciales, à leurs carrefours de croissance. Habité comme les pages de son livre qui surgit notamment sur Amazon, en mode imprimé ou téléchargement online.
Durant sa solide carrière à la Chambre de commerce et d’industrie du Doubs, à Besançon, il en a vu passer des entrepreneurs, des créateurs d’entreprises, des repreneurs, des implémentateurs, des startupers. Et ce, pas seulement au sein de l’arc jurassien français, mais aussi dans tout ce qu’il a de ramifications côté Suisse, là où les huiles de la désidérabilité horlogère sont essentielles au point d’embaumer les contrées alentours.
Le NoWatch, l’ennemi qu’on n’attendait pas
Oui, son livre le rappelle, la montre est en danger. « La maîtrise du feu, de la vapeur, de l’électricité, ont transformé l’histoire de l’humanité: le travail sans distance aussi. L’outil change le monde. D’autant qu’on le sait, la montre est menacée par la Smartwatch et surtout le NoWatch, c’est à dire le fait de ne plus porter de montre du tout, » complète-t-il en relevant cette tendance mondiale propre aux pays industrialisés de ne plus porter de montre du tout. Mortel pour le secteur.
Motivé, « puisque le monde change vite et l’horlogerie pas assez, » il s’investit corps et âme pour le partage de ses analyses suivi du panel de ses recommandations. En parallèle, il devient le répondant du journal suisse d’horlogerie, le JSH Magazine 1876 pour toute sa région. Pour qui il rédige également quelques articles. Et à la question de savoir à qui il dédie son ouvrage, sans hésiter il répond. « A Jean-Jacques Weber, Président de la Fédération Française de l’Horlogerie, pour son soutien et son amitié. »